« AZA ! mon cher Aza ! les cris de ta tendre Zilia, tels qu'une vapeur du matin, s'exhalent & sont dissips avant d'arriver jusqu' toi; en vain je t'appelle mon secours; en vain j'attends que ton amour vienne briser les chanes de mon esclavage: hlas ! peut-tre les malheurs que j'ignore sont-ils les plus affreux ! peut-tre tes maux surpassent-ils les miens !
La ville du Soleil, livre la fureur d'une Nation barbare, devrait faire couler mes larmes; mais ma douleur, mes craintes, mon dsespoir, ne sont que pour toi...